30 histoires en attendant Pâques
Société: Editions Larousse Taille: 362.66 MB Version: 1.2 Type d’appli: Universal (iPhone / iPod Touch / iPad) |
Description
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Une application Larousse à croquer avec délice sur iPad et iPhone !
30 histoires dans lesquelles on retrouve des récits imaginaires mettant en scène le lapin de Pâques, des cloches en sucre qui volent, un Grozogre dévoreur de choco-marmots, un poussin prisonnier d’un œuf en chocolat, une poule aux œufs d’or…
Ces multiples aventures sont peuplées d’animaux de tous pays : un lièvre très futé, des petits oursons gloutons, un renard affamé, un bilby d’Australie…
De magnifiques histoires de Pâques sonorisées
•30 histoires sonorisées et racontées par l’auteur elle-même
• Une collaboration de 5 dessinateurs pour une ambiance visuelle renouvelée à chaque histoire.
Des fonctionnalités de lecture uniques grâce à l’iPad
• Un karaoké magique pour suivre le texte au fur et à mesure de sa lecture audio
• La possibilité d’écouter la prononciation de chaque mot séparément
• Des définitions adaptées aux enfants pour tous les mots difficiles !
Catherine Mory, professeure de français en collège, est déjà l’auteure de 30 histoires de Noël disponible sur iPad.
Extrait de l’entretien vidéo de Catherine Mory, auteure de 30 Histoires en attendant Pâques disponible sur Larousse.fr
Où puisez-vous votre inspiration pour alimenter vos histoires ? Vie quotidienne, souvenirs d’enfance ?
Les idées peuvent me venir des jeux qui se créent spontanément avec mes enfants. Elles proviennent également beaucoup de mes lectures. Pour cet album, je me suis aussi inspirée des différentes traditions pascales. Par exemple, en Australie, c’est un petit animal nommé le bilby qui offre du chocolat aux enfants.
Pensez-vous que le monde des contes aide à faire passer des messages ? La générosité, le partage, la différence ?
Pour qu’un enfant soit sensibilisé à une valeur morale, il doit être ému. Dans un conte, sont mis en scène des personnages qui vont susciter des sentiments. Certains seront haïssables, d’autres admirables, d’autres pitoyables. Sans émotion, rien ne peut passer chez un jeune enfant. Il n’a pas encore accès à une réflexion conceptuelle.
Faites-vous attention au vocabulaire employé ou les mots « difficiles » sont-ils permis ?
Il est nécessaire d’être vigilant car on ne peut pas utiliser tous les mots. Mais c’est dommage de se priver des mots « compliqués ». Prenons le cas de l’adjectif blême. Si vous écrivez l’enfant était blême, le lecteur n’a aucun moyen d’identifier le sens de blême. Mais si vous écrivez, l’homme regarda le visage blême de l’enfant, couleur de craie il comprend que blême se rapporte à un visage que c’est une histoire de couleur qui a trait à la blancheur. L’enfant peut de lui-même déduire le sens du mot et enrichir son vocabulaire.
Vous êtes également professeure au collège ; votre profession vous aide-t-elle ?
Un professeur doit avant tout être clair et se faire comprendre. Lorsqu’on écrit une histoire, on a le même souci. Il ne faut pas sauter d’étape, il faut veiller à la cohérence des personnages, il faut guider le jeune lecteur.
Pour cette application iPad, vous avez accepté de raconter vous-même ces histoires ; pensez-vous que les livres numériques pour enfants soient une nouvelle façon d’accéder à leur imaginaire ?
Je ne sais pas si c’est une nouvelle façon d’accéder à leur imaginaire, mais c’est une formidable invention. J’ai deux enfants qui écoutent constamment des histoires sur C.D et c’est essentiel pour leur apprentissage de la langue. Ils mémorisent des tournures de phrases enrichissent leur vocabulaire. De plus, sur iPad et (iPhone), des images fixent leur attention, et des mots apparaissent. Il y a une véritable dimension pédagogique.